Amen/tia...
Il apparaît de temps en temps sur la surface de la terre des hommes rares, exquis, qui brillent par leur vertu et dont les qualités éminentes jettent un éclat prodigieux semblables à ces étoiles extraordinaires dont on ignore les causes et dont on sait encore moins ce qu'elles deviennent après avoir disparu.
Ils n'ont ni aïeuls ni descendants ils composent seuls toute leur race.
Rouverture du forum
20/10 - Amentia reprend de l’activité ! De nombreux changements ont été effectués, que nous vous expliquons plus en détails par ici. Pour toutes questions ou suggestions, vous pouvez nous en faire part dans les salons Discord dédiés. Encore merci pour votre patience, en vous souhaitant une bonne reprise !
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"Une étoile peut être une fleur" || Antoine de Saint-Exupéry

❧ Antoine de Saint-Exupéry
Antoine de Saint-Exupéry

"Une étoile peut être une fleur" || Antoine de Saint-Exupéry Vignet10
Feat. : OC | by Junseo 峻曙 (@noonrema)
Messages : 16



Antoine De Saint-Exupéry

feat. OC de Junseo 峻曙 (@noonrema)
Âge : 34 ans physiquement | Mort à 44 ans
Sexe : Masculin
Orientation sexuelle : Il a un bon sens de l'orientation, il connaît deux chemins
Métier : Chef d’équipe, chargé de la récupération des AMC
Pouvoir : Songes célestes |
[Apparition du pouvoir en l’an 813]

Un beau jour où Antoine, distrait, vaquait à ses diverses pensées, un vent secoua les pages de son carnet et à peine avait-il pensé et posé ses doigts sur ce dernier que l’illustration de ses songes se dessinait seule sur le papier. Une esquisse d’avion à l’encre, aux traits flous et fébriles, s’envola un très bref instant jusqu’à la fin de la page, termina son voyage à travers le papier et disparut aussitôt qu’il était apparu. En bref, par il ne savait quelle magie, il était capable de dessiner ses idées sur n’importe quel support avec une certaine précision, ses songes les plus secrets. La seule condition à cela est de toucher de ses mains n’importe quelle surface. Cela fonctionne aussi sur les êtres vivants, sans aucun risque quelconque. Quoiqu’il est déjà arrivé qu’une illustration perdure quelques jours sur sa peau ou celle d’une autre personne. Ce qui peut s’avérer embarrassant selon le contenu de la pensée, surtout lorsqu’il apprenait encore à maîtriser cette nouvelle abilité.

Il limite cependant l’utilisation de son pouvoir. Premièrement, parce que parfois, des pensées qu’il préférerait garder pour lui parasitent les images qu’il tente de façonner pour autrui ou pour lui-même. Ensuite et enfin, car il a tendance à perdre progressivement la notion de la réalité et à finir dans un état second difficile à briser lorsqu’il l’utilise trop longtemps et/ou que ses ambitions sont trop grandes. Il peut passer des heures en dehors de la réalité, la tête complètement ailleurs, le regard vide. Si personne n’est là pour retourner vers le haut la ou les paumes concernées de ses mains, tout continue à se matérialiser sans limite et une pièce entière peut finir parsemée de dessins (éphémères, heureusement). C’est toutes ses pensées et songes intimes qui se dévoilent à autrui de manière incontrôlée. C’est ainsi qu’il le maîtrise à l’heure actuelle, bien plus longtemps qu’à la découverte de ce pouvoir. Au départ, c’était un désastre, il matérialisait tout et n’importe quoi de façon totalement aléatoire.

Il y a sûrement un moyen de le faire sortir de son état second, mais il ne l’a malheureusement pas encore trouvé à ce jour, malgré divers tests et essais.
___________________
( Seulement pour les AMC )
Origine : Antoine de Saint-Exupéry
[1900 ~ 1944]
Arrivé à Amentia depuis : 19 ans
[~ An 801 et quelques]

Caractère / Physique

“Changer de civilisation, c’est changer de visage”
- Antoine de Saint-Exupéry, Carnets -

Physique

Quel physique lui avait-on donné, si ce n’était un corps aux antipodes de celui qui l’avait accompagné de sa naissance à sa mort ? D’une usure liée à la vieillesse et aux accidents à un renouveau et une jeunesse retrouvée ? Il faisait dix ans de moins que son âge réel et bien plus. C’était, en tout cas, ce qu’il se plaisait à dire, un éclat amusé illuminant ses yeux azur, cristal reflétant tout autant sa présence dans la réalité que ses absences dans ses moments de songes dont il avait le secret.

Un grand homme, ce Saint-Exupéry. Littéralement, car concernant l’aspect figuré, cela, bien évidemment, dépendait de chacun. Le voilà qui se levait et l’on pourrait presque croire qu’il cherchait, de par sa taille, ses grandes épaules et son corps bien bâti, à atteindre les étoiles par ses propres moyens. Etait-ce pour cela que ses cheveux d’or, certains jours, étaient si ébouriffés ? L’on pourrait se demander alors si, après avoir affronté le vent et la couche d’ozone, il avait tenté de dissimuler cette ambition lorsqu’il les peignait à la mode d’un temps qu’aucun Amentis n’eut connu. S’il avait un jour évoqué le fait qu’on lui avait attribué le surnom de Pique la Lune à cause de son nez qui pointait vers le haut, cela n’avait plus trop de sens maintenant étant donné que celui qu’il arborait à l’heure actuelle, s’avérait plus rectiligne, plus terre à terre qu’une partie de sa personnalité. L’on pouvait également, du bout de l’index, tracer une droite constellation sur sa mâchoire angulaire et prononcée qui parfois, arborait quelques nuages clairs orageux de barbe lorsqu’il oubliait de se raser.

Intimidante, son apparence pouvait être vue comme tel si l’on s’arrêtait à sa taille et à sa grande carrure. Pourtant, laissez votre regard se plonger dans ses yeux ou son attitude loin d’être agressive et vous y percevrez, selon les jours, l’éclat de la douceur ou du sarcasme amusé. Si vous descendez un peu le regard, votre champ de vision pourra, qui sait, apercevoir un sourire très souvent réservé. Ses grandes mains, elles, créaient, caressaient les galaxies plutôt que d’envoyer des météorites destructrices de planètes.

Vous le remarquerez peut-être mais les mots et sa voix grave sont, pour Antoine, à la fois une arme et un outil pour dévoiler un caractère apaisé mais plein de convictions.

Résumé :

> 1m86
> Caucasien
> Silhouette et carrure assez carrée et bien bâti
> Yeux bleus azur, clairs
> Cheveux blonds
> Des sourcils tout aussi blonds bien fournis et expressifs
> Nez rectiligne
> Lèvres qui esquissent souvent un timide sourire, doux lorsque l’occasion se présente
> Mâchoire angulaire et prononcée
> Il n'a pas de très jolis pieds même s'ils restent banals et très propres
> S’est fait quelques cicatrices accidentelles durant sa vie sur Amentia
> Une certaine maladresse (rater un objet en voulant l'attraper, rater une marche...) liée à la différence entre son ancien corps et celui-ci perdure
> Voix grave d’un timbre doux et calme, presque apaisant.

Caractère

Et des convictions, Antoine, en tant que français et auteur, il en avait de fortes tout en gardant un esprit le plus ouvert possible. Après tout, s’il existait des milliers d’étoiles et une infinité de galaxies, cela n’avait pas de sens de limiter son apprentissage et d’arrêter ses opinions sur ce que l’on croyait avoir pleinement acquis. Ce trait de caractère qu’il avait développé dès sa plus tendre enfance et durant ses voyages à l’étranger était l’un des avantages qui lui avait permis de s’intégrer sans trop de difficultés à la culture des Amentis. Bien qu’il eût sans aucun doute quelques accrochages inévitables avec ces derniers, certaines de ses pensées étant loin d'être en osmose avec la réalité à laquelle il faisait face.

L’aviateur, envolé dans son avion, observait plus qu’il ne participait aux conversations. Parfois, il se contentait d’écouter, parfois, il avait la tête perdue entre les nuages, perdu dans son monde interne. Derrière sa sagesse apparente, il était néanmoins capable de faire preuve d’un sarcasme cinglant ou de devenir très critique envers certaines personnes ou personnalités. Il ne s’exprimera néanmoins pas toujours verbalement sur ces opinions sévères. En dehors de ces cas de figure, il fera, la plupart du temps, preuve d’un calme olympien. Sa discrétion habituelle laissait toutefois place à sa naturelle tendance à rester politiquement impliqué et actif quand cela lui était possible et lorsqu’il le jugeait nécessaire. Il restait, même dans sa seconde vie, fidèle à ses idéaux et à ses valeurs d’honnêteté, justice, intégrité, diplomatie, connaissance, respect des autres et sens du devoir. Toutes ces vertus n’étant pas totalement atteignables pour un humain imparfait teinté de nuances, il arrivait que parfois leur application tourne mal et fasse plus de dégâts qu’autre chose. Il pouvait être vu comme admirable autant qu’on peut le considérer être un homme borné lorsqu'il s'y mettait.

Saint-Exupéry aimait profondément l’humanité autant qu’il en abhorrait certains aspects. Cette dualité le menait parfois à un cynisme gris pluvieux, tout comme elle pouvait illuminer ses journées d’une douce poésie ensoleillée. Dans tous les cas, il avait souvent le rire facile et appréciait généralement la présence d’autrui.

Sans voyages, action ni aviation, voilà qu’il ne lui restait plus que la politique, l’écriture et éventuellement d’autres activités qui demandaient plus d’énergie et offraient l’adrénaline dont il avait besoin. Sur Amentia, sa tendance à s’ennuyer, déjà présente dans le monde d’avant, n’a fait que s’accroître au fil des ans et eut le malheur d’accentuer ses caprices lors de ses pires phases. Il ne supportait pas l’inaction et lorsqu’il était forcé de rester trop longtemps sans rien faire, il pouvait devenir exécrable, se morfondre et devenir sincèrement désagréable. Silencieusement, ou non. C’était dans ces moments-là que son appartement était le plus désordonné et, si habituellement il perdait beaucoup ses affaires à cause de son caractère distrait, il ne retrouvait jamais rien durant ces périodes sombres.

En tant qu’auteur et humain de l’ancien monde, il restait naturellement très attaché à ses anciennes expériences et son éducation, ainsi qu’à l’amour de la culture. Parfois, il se heurtait à l’absence de devoir de mémoire en Amentia. Lui qui avait vécu des guerres, des pertes qui l'avaient touché, il trouvait dommageable de perdre toute trace de tous ces gens et de leurs vies.

Son visage avait changé, mais son cœur évoluait tout en restant fondamentalement celui d’antan.

Résumé :

> Distrait, il rêvasse beaucoup
> Ouvert d’esprit
> Calme, assez silencieux, pacifique
> Peut faire preuve de sarcasme
> Politiquement actif
> Fidèle (le plus possible) à ses valeurs : Honnêteté, justice, intégrité, sens du devoir.
> Tout ce qui touche à ses valeurs peut le rendre rigide, ce qui peut devenir un défaut notable malgré son ouverture d'esprit.
> Il s'ennuie vite et déteste s’ennuyer. Peut devenir exécrable et stressant quand c’est le cas.
> Désordonné
> Grand romantique, autant dans le sens littéraire du terme que lorsqu’il s’agit de romance
> Attaché à la culture et au devoir de mémoire

Histoire

Un désert aussi infini que la myriade d’étoiles qui décorait un ciel nocturne qui commençait à prendre place et offrait le spectacle d’un horizon resplendissant d’inconnu. Inconnu, mais pourtant d’une familiarité étrange sous le regard de la silhouette humaine qui contemplait ce paysage. Immobile, un point insignifiant perdu parmi ces dunes majestueuses. Cet homme, face à l’horizon, semblait s’être assis sur ce qui ressemblait à l’épave d’un ancien avion bimoteur enfoncé dans le sable, comme si cela faisait déjà bien longtemps qu’il s’était écrasé ici. Étrangement, il semblait avoir rouillé, des algues étaient encore accrochées aux ailes et aux hélices, comme s’il avait été jadis plongé dans l’eau. L’étoffe de ses vêtements blancs flottait paresseusement au gré du vent, tandis que des grains dorés continuaient leur voyage sans se soucier de l’être humain statique qui occupait tout naturellement cet espace, sans y imposer sa présence. Quelques créatures s’agitaient non loin de là, à travers les divers remous de cette mer ensablée.

L’homme but quelques gorgées d’eau et ajusta son foulard sur son visage. Un bracelet faisant office d’identification sur lequel était gravé “Antoine de Saint-Exupéry” s’agita sur l’un de ses poignets.  Il rangea sa gourde et caressa du bout des doigts le métal chaud de l’épave sur laquelle il se tenait. Cette scène lui rappelait tant de souvenirs d’un passé qui, il ne pouvait nier l’inévitable, était proche de son cœur mais aussi lointain que des galaxies étrangères. Ce souvenir, magnifié, imprimé maintes fois dans ses écrits, imprégna ses yeux clairs d’un éclat humide qui pourrait faire office d’un oasis, entouré de toute cette aridité. Quelles aventures lui réservaient ces contrées, cette fois-ci ? Il ferma les yeux et savoura l’instant, le simple fait d’exister dans ce songe.

Il songeait. Il songeait, avec douceur, à l’homme qu’il avait été. Cette personne dont l’existence n’était à présent qu’une histoire racontée par d’autres ou dont lui seul avait la mémoire. Un récit sans épilogue mais avec une fin, comme tant d’autres. Il repensa à son nom, un nom bien noble pour une existence qui ne l’était pas plus que d’autres. Du moins, il avait cherché du mieux possible à appliquer et transmettre des valeurs qui, elles, l’étaient certainement selon les points de vue. Humanisme, respect de l’autre, fraternité, sens du devoir et du sacrifice… Enfant d’une famille aristocratique sur le déclin, il était né en début de siècle et n’avait pas dépassé la moitié de ce dernier. Il espéra, un instant, que ce fut le cas pour ceux qu’il chérissait. Sa mère, ses frères et sœurs, ses amis, Mermoz, Guillaumet et toutes les femmes qu’il a aimé tendrement ou fougueusement… Un sourire triste, dissimulé sous l’étoffe légère, se dessina sur ses lèvres. Son attention se reporta de nouveau sur l’épave.

Ah... Qu’il aimerait tant revivre les joies de son baptême de l’air, à ses douze ans. Cette première fois si enthousiasmante, si passionnante, si excitante. Tentant, mais il ne serait pas aussi avide. Le simple fait de pouvoir assister au spectacle qu’offraient les astres afin de montrer aux hommes que le passage du temps était bien présent, avec douceur mais fermeté et accompagné par les oiseaux, le comblerait. Mais pas aujourd’hui. Aujourd’hui, il se sentait fatigué, las, comme s’il venait de terminer un voyage très éreintant. Un processus très lent, mesuré par des dizaines d’années lumières. Il avait échoué des choses, en avait réussi d’autres. Il avait volé pour l’institution militaire de son pays, la France, ou simplement traverser en vol océans et périlleuses montagnes pour distribuer le courrier au prix du sacrifice de sa vie, en osmose avec ses camarades de l’Aeropostale. Il s’était battu politiquement pour son pays. Il avait déposé des brevets scientifiques et techniques. Il avait écrit, beaucoup écrit. Des essais, des pensées diverses. Rempli des carnets. Raconté des histoires sur les humains et sur l'humanité et sa Terre, sur un vol de nuit. La narration d’une rencontre d’un aviateur et d’un petit prince, eux aussi, coincés dans le désert.

Il se perdit encore un peu dans ses pensées et somnola encore quelques minutes. Peut-être une heure. Un siècle. Il ne saurait le dire. Qui sait, les étoiles lui répondraient s’il leur demandait l’heure. Après cela, il partirait découvrir ce que dissimulaient ces contrées désertiques et trouverait, il l’espérait, quelques peuples nomades amicaux.

Puis il rouvrit les yeux.

Cette fois, ce n’était plus un océan de sable qui s’offrait à lui, mais une vaste étendue d’eau. L’odeur de l’air était agréablement iodée, agrémentée d’un doux soleil hivernal. La seule chose qui n’avait pas changé ici, c’était ses mains qui empoignaient un sable blanc presque immaculé. Il s’assit. Les vagues, remous marins, effleuraient doucement ses pieds, telle une caresse fraîche et rassurante. Cette sensation sembla l’aider à se réveiller progressivement. Il saisit une poignée de sable, la relâcha dans le vent et frissonna, se couvrant de ses bras. Il était trempé des pieds à la tête et il faisait un temps glacial. Ses vêtements, un pantalon et une simple chemise, collaient désagréablement à sa peau. Une écharpe jaune était enroulée autour de son cou, douce. Antoine resta là quelques instants à fixer l’horizon, perdu. S’était-il échoué sur une plage après s’être écrasé à proximité des côtes méditerranéennes ? Pourtant, il était certain qu’il n’y avait aucune chance de survie après un tel accident.

Engourdi et l’esprit embrouillé, il se força à bouger et se redressa de toute sa hauteur, les muscles crispés et endoloris. L’aviateur se mit en mouvement pour s’assurer qu’il n’était pas blessé, ce qui aurait été étonnant vu la situation dans laquelle il se trouvait. Il ne l’était pas. Mais plus encore, ce n’était pas un corps qui lui était familier. Il remarqua également l’absence de son bracelet en argent sur lequel son nom était gravé. L’avait-il perdu en mer ? Son rythme cardiaque s’accéléra graduellement au fur et à mesure qu’il inspectait les environs. Il garda néanmoins son calme. Ce n’était pas la première fois que cela lui arrivait. Et ce n’était pas un désert, mais une simple plage côtoyée par d’autres personnes.

Il n’avait, à cet instant, pas encore réalisé l’ampleur de la distance à laquelle il s’était échoué et rien n’aurait pu le préparer au choc qui allait s’ensuivre.

***

19 ans plus tard

Un dessin d’avion s’envola sur la peinture colorée, effectua une embardée sur le plafond, fit un tour autour de la lampe et disparut près de la fenêtre.

Un pouvoir aux effets éphémères dans un monde qui se refusait au souvenir du passé. Voilà qui était en accord avec ce monde dans lequel il vivait depuis tant d’années.

Antoine, assis confortablement sur son fauteuil, venait de se réveiller d’un rêve très nostalgique. Un songe de deux passés qu’il se plaisait à se remémorer métaphoriquement parfois, conscient ou non. Certains décidaient de faire table rase, d’oublier. Lui n’appréciait guère cette amnésie sélective que certains choisissaient d’embrasser. Salvatrice, disaient-ils. Lui n’y voyait que du néant, de l’irrespect envers un passé, les rencontres importantes et ses leçons qu’on aurait pu en tirer. S’il devait perdre la mémoire, ce ne serait que l'œuvre de son cerveau humain faillible. Dès son arrivée sur Amentia, lui qui s’accrochait à ses souvenirs nourrissait le désir de rencontrer des visages et concepts familiers. Il y en avait bien eu un depuis toutes ces années, mais ce dernier perdit malheureusement la vie. Toutes les nouvelles rencontres qu’il fit, cependant, furent là pour contrebalancer la solitude qu’il ressentait parfois en tant qu’AMC.

Son téléphone sonna. Il bailla.

Il était temps de revenir au présent et d’aller accueillir l’un de ces êtres mystérieux, tout comme lui, qui provenaient du passé ou n’existaient que dans l’imagination d’anciens peuples.

  Twane

Âge : Un certain âge
Un peu de vous : J’adore rire - créer des trucs - ma condition humaine fait que j’ai les pieds aussi froids que le Canada en hiver (le réchauffement climatique ne compte pas dans cette situation)
Comment vous nous avez connu : Ce n’est pas ma forme finale
Chat ou chien : Chat


© Amentia



Mer 17 Juin - 11:09
❧ Amentia
Amentia

Messages : 192



Bravo Twane, tu es validé !
Petit mot :
Ta fiche est très poétique et douce, c'est très agréable à lire =w= On voit que c'est un personnage tout en douceur, et très rêveur, jusque dans son pouvoir uuh
Tu peux recenser ton personnage dans Bottin des avatars et Bottin des habitants, faire des demandes RP sur le discord et bien entendu RP sur le forum.

Mer 3 Nov - 10:19